CAUSE DE L'AGONIE OCCIDENTAL (Francés)

CAUSE DE L'AGONIE OCCIDENTALE

     Une proposition et sa négation ne peuvent pas toutes deux être vraies à la fois et dans le même sens. L'incohérence d'un peuple gouverné et gouverné est contre nous. En réalité, la démocratie est en réalité un instrument de coercition qui confronte notre liberté d'être avec le droit de vote. Il est un moyen utilisé par la puissance hégémonique par laquelle il est destiné à laminer le processus de libération dirigé par un chef de file, en faisant valoir que la liberté individuelle est opposé à une liberté collective supposée d'un leader démocratique qui choisissent majorité ou non; qui peut-il être ou ne pas être.

La démocratie et le communisme sont des propositions similaires, les deux ont toujours survécu à la guerre, l'esclavage, le génocide et le mensonge, et où ils ont été mis en œuvre et les plus idéaux ont soumis leurs formes; plus de misère, d'oppression et d'extermination ont généré. Ce sont des idéologies de nature déviante, qui cherchent uniquement à obtenir le pouvoir au profit du souverain.

Dans la subversion marxiste, il se pose: pourquoi personne ne devrait-il avoir plus que toi? Dans le démocrate: pourquoi personne ne devrait vous gouverner? Les deux ont besoin du chaos dans lequel pour soulever une nouvelle structure hiérarchique encore plus oppressante. Si la démocratie était une porcherie, les chefs seraient les cochons, le peuple: la boue.

"Choisir" signifie "choisir", vient du latin pour l'union de deux particules: ex et colligeri; «Quitter» et «attraper». Le processus électoral pourrait bien être appelé processus d’exclusion. Les deux actions sont simultanées et indissociables. L'exclusion ne devrait pas être un droit consacré. Le droit de vote ne doit pas exister. C'est anti-humain, il va à l'encontre de la nature même de l'homme dans son expression la plus brillante.

Il y a d'innombrables démagogues, journalistes et journalistes qui défendent comme s'il s'agissait d'une religion les bénéfices de la démocratie, contre la réalité et la vérité objective; mais: en tant qu'intellectuels que vous supposez!, que défendez-vous en affirmant que la démocratie est la solution finale, incontestable et impérissable? Aucun penseur de prestige ne défendrait une raison aussi immuable et perpétuelle.

Avant tout, la démocratie est le droit d'exclusion. C'est le droit que nous croyons devoir annuler dans la société ceux que nous n'aimons pas, peut-être seulement par envie, car nous pensons qu'ils sont meilleurs que nous. La démocratie est le totalitarisme pur et son expression a longtemps pour conséquence une véritable progromie. Il est, bien sûr, une priorité impérative pour tout homme libre luttant contre la démocratie, étant entendu que c'est essentiellement une méthode pour la pratique de l'esclavage et l'extermination. Pas en vain, les citations infinies d'auteurs, d'intellectuels de tous les temps, dans tous les domaines de la connaissance et de toutes les tendances, ont une plus grande profondeur de pensée que celles qui leur sont favorables; ce qui n’est pas surprenant étant donné que le fondement démocratique est faux du début à la fin.

Il existe trois types de citoyens en démocratie: ceux qui sont trompés, ceux qui sont trompés et ceux qui participent à la tromperie. Dix-sept présidents des États-Unis pendant huit décennies pas aboli l'esclavage, il devait y avoir une guerre civile de quatre ans qu'il devrait inaugurant les lois de ségrégation qui a duré un siècle. Dix des dix-huit premiers présidents des États-Unis étaient propriétaires et exploiteurs de centaines d'esclaves chacun, soit des milliers au total.

C'est un fanatisme de prendre pour acquis ce régime qui tient compte de nos convictions gouvernementales, indépendamment de leurs résultats. L'homo Democraticus devrait être si parfait que, lorsque cette magnificence serait atteinte, il pourrait être commuté par l'autocráticus. Ce serait une joie de vivre sous le régime d'une si belle âme. Mais si nous avons perdu la foi dans l'homme au point de préférer gouverner pour le système électif, comment pouvons-nous aspirer à une démocratie vierge pour superioris homo? Un régime idéalisé qui dépend d'une super-humanité se traduit par le suprémacisme. Cette aspiration, à travers le dialogue axiomatique, constitue un totalitarisme génocidaire qui élève le nazisme à une simple anecdote.

La démagogie démocratique soulève: double-pensée, néolangage, marxisme, idéologie de genre, déconstruction, relativisme moral, principe d'incertitude… une logorrhée simple avec une apparence formelle. Dans ce chaos, clairement défini la confrontation: riches et pauvres, hommes et femmes, homo-hétéro, révolution conservation, père-fils, pénis-vulve, état-église, religion idéologie ... créer le désordre et la confrontation démocrate n'a quitté prospérer sur la destruction des autres.

Il est faux que le cadre démocratique embrasse toute idéologie alors que lui-même n'est qu'une sorte de règles du jeu. La vérité est que la démocratie est une idéologie qui n'admet pas de positions face à ses axiomes. Qui veut, avec une honnêteté intellectuelle, la régénération de la démocratie comme solution aux maux qui lui sont inhérents? il n'a pas compris le substrat de cette idéologie. La majorité est la cause de la légitimité démocratique puisque l'infinité de ses textes est de son argumentation, aussi gonflée de verbiage creux que l'électeur au centre vacue.

Dans l'Orbe, depuis l'an 1700, il y a environ 100 millions de morts dans les conflits armés. Avec l’approbation, pour la première fois, de l’avortement en URSS de Lénine en 1920, il ya eu 1 500 millions de meurtres intra-utérins. Quelle monstruosité! Un démocrate n'est rien de plus qu'un meurtrier de masse de méthodes raffinées et extraordinairement efficaces. Mais si vous constatez que votre pays est en difficulté et que personne ne fait rien pour les résoudre, vous êtes peut-être celui qui doit fournir les solutions. Si vous décidez, prenez soin des démocrates, laissez dans les couches le génocide communiste.

Démocrates croient que la tombe de Franco est intolérable, mais la crypte royale au monastère de l'Escorial, avec vingt-sept corps des Bourbons et Habsbourgs, ne dit rien. Son style est considéré que la crucifixion de Jésus-Christ était un abus par Jésus-Christ était: insolent, fasciste, chauvin et Vacilón, ainsi que capitaliste et Franco. Cette tourbe nivelante provoque l'individu qui se distingue: par envie, par étranger, par conquête ou défense, par stupidité ou par survie génétique. Cette attaque force la sublimation qui accroît l'envie dans un cercle vicieux qui se termine par l'épuisement, la mort ou l'imposition victorieuse de la masse oppressive accordant à l'humanité l'étincelle de liberté et de vie, ouvrant un chemin humain.

Féminisme, égalitarisme, anti-capitalisme, antifascisme, communisme, démocratie… Ils partagent un objectif commun: voler, tuer et asservir, leur désir est le pouvoir même du pouvoir. Lorsque le démocrate impose son concept de justice, les atrocités se multiplient, alors seul le péril prévaut qui peut. La démocratie est une aporie. Le démocrate déclare que nous ne pouvons pas nous promener nus dans les rues et sauter à la jambe en jouant du violon, que si nous ne pouvons pas le faire, cela signifie qu’il n’ya pas de liberté, mais de l’hétéropatriarcado.

Autoritarisme? Non, le vrai leader - loin de la définition actuelle du RAE - est en auto-défense - par l'homme de masse-. Quand il est authentique, il investit toute son énergie dans la survie, préservant la vie et les intérêts des autres. Ce qui est accordé, sans aucun doute, l'a bien gagné.

La démocratie est la science, le contraire est l'humanité. La prétention de transformer la métaphysique de la liberté en une urne en méthacrylate et un nombre infini de pages est l'expression maximale de la déception. Le droit que les hommes s’arrogent de choisir pour les autres est la même indignité, active et passive. Un vestige de l'esclavage, une déviation morale inhumaine. Le marxisme enlève la propriété, tire la nuque et fait des esclaves. La démocratie nie la propriété, nie la naissance et fait des chiffres. Vous avez mené à une telle extrême révolution démocratique que le révolutionnaire doit être conservateur. Et en ne conservant qu’elle-même, la restauration de Bourbon de 1975 a utilisé la démocratie pour détruire les traditions morales et culturelles de l’Espagne. S'ils sont convaincus que Dieu n'existe pas, qu'est-ce qu'ils se soucient de penser à lui?

La démocratie est la livraison de l’illusion du pouvoir aux lâches. La tromperie maximale et la prison du peuple. Prisonnier de malice. Il annule la démocratie et établit comme un crime la caractéristique précise qui distingue l'homme des autres animaux: être, la conscience. Cette annulation n'est pas sans le prince quand cohabite avec ou utilise. Démocrate n'est pas nécessairement bon pour être un démocrate, ni dictateur tyran nécessairement dictateur. La démocratie est le désert, la mort, le néant.

La démocratie, révolution organisée, ses conséquences sont: le désordre, la mort, le vol, l'abus de pouvoir, l'esclavage et la dégradation de l'aspect formel. Si vous avez des armes devant le Congrès et mis le feu à volonté, ils seront accrochés aux sacs de l'Échiquier et crier: Pas si mon argent!

La pratique de la démocratie est une suite de l'esclavage, car il implique le droit que les hommes arrogent d'élire d'autres, même quand il est au plus haut privilège. A deux reprises, il a cassé cette formule à travers l'histoire: la première en Grèce antique, le deuxième aux États-Unis. Dans les deux cas, ils étaient des sociétés esclavagistes. Il y a plus d'une croyance religieuse, leur Dieu est le peuple, tout ce qui est démocratiquement géré sera acceptée par l'Empire; même la folie la plus délirante.

Comment la démocratie et la guerre vont ensemble autant que tout autre régime donne une bonne histoire de compte. Et si quelqu'un dit: non, ils ont lutté contre le totalitarisme. Nous devons interroger qui est naïf? Éduquer en démocratie? Non, s'il vous plaît, la démocratie est le manque d'éducation. Eduquemos dans l'anti-démocratie, à dévaluer le bien, pour ne pas dire la majorité; et rappelons-nous que la guerre a été la voie de l'expansion de l'Empire sur les deux occasions où la démocratie est apparue dans l'histoire: à la fois dans l'Athènes antique et aux États-Unis. UU

J. M. Mora